Le cas relate de manière anonymisée le projet réel de construire un centre commercial à Auschwitz, assez proche du camp.
Après avoir obtenu les autorisations nécessaires, l'entrepreneur et le maire se trouveront confrontés à un tollé international qui entrainera l'abandon du développement commercial très controversé.
Le cas permet tout d'abord aux étudiants d'être confrontés à leur manière de penser. Pour eux c'est bien souvent le commerce qui doit primer sur tout, ou presque. Le dévoilement en fin de discussion du terrible lieu leur permet petit à petit de mieux se questionner sur la primauté du commerce sur tout le reste. Si on peut s'inscrire en faux sur cette primauté du commerce, comment poser les limites juridiques, éthiques, environnementales, philosophique, historiques ?